Fantastique

Berserker

Titre : Berserker
Auteur : Gautier Durrieu de Madron
Editions : Autoédité
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 407
Format lu : ebook

Service de presse reçu en échange d’une chronique, partenariat non rémunéré

Résumé :

Autrefois, les berserkers combattaient pour mourir afin d’entrer, couverts de gloire, dans les halls de leurs dieux. Mais pour Wilfried, ce but ne rimait à rien. Il se battait pour mourir, pour disparaitre de ce monde en ayant pu servir un peu à quelque chose.
4 ans plus tôt, une terrible pandémie a transformé le monde en un champ de ruines. Face à des infectés dévoreurs de chair, les survivants se sont réfugiés dans des forteresses imprenables. Mais celles-ci sont devenues leurs prisons, laissant aux assoiffés de pouvoir le champ libre pour exercer leurs ambitions.
Une seule lueur d’espoir existe. Les berserkers, des humains infectés qui n’ont pas sombré dans la folie meurtrière, mais qui sont devenus plus puissants que tout ce que l’humanité pourrait imaginer. Ils protègent les forteresses et repoussent les infectés de plus en plus loin. Mais en tant que porteurs de la maladie, ils sont autant haïs que nécessaires.

Mon avis :

Déjà, je commence par dire un énorme merci à l’auteur qui m’a renouvelé sa confiance en m’envoyant son nouveau titre qui cette fois ne fait pas partie de la saga Au nom des Dieux.
Quel plaisir de retrouver la plume de l’auteur qui nous plonge ici dans une nouvelle histoire inédite que j’ai littéralement a-do-ré !

Je suis fan des romans post-apo et pour peu qu’on rajoute une touche de survival avec des zombies ou autres, alors je suis encore plus aux anges car j’adore ce combo gagnant ! L’association entre action, sciences, post-apocalypse, virus et créatures voraces me plaît au plus haut point et je me suis donc plongée avec joie dans la lecture de ce petit bijou que j’ai dévoré.

L’auteur a brillamment détourné une certaine pandémie mondiale qui nous a tous affecté pour l’utiliser en sa faveur avec une amélioration zombie du plus bel effet.
Dès le début on est dans le vif du sujet avec une course poursuite dynamique et un instinct de survie digne d’un bon vieux film de Romero.
L’auteur a su s’approprier le sujet tout en y ajoutant sa touche personnelle et ses améliorations au genre d’une manière intelligente qui donne un coup de jeune au mythe du zombie tout en lui conférant une utilité particulière pour son roman avec les fameux berserkers.

Notre héros, Wilfried, m’a d’ailleurs un peu fait penser au Brzrkr de Keanu Reeves : brutal, violent mais en quête impossible de rédemption et de réponses.
Les hordes, un étrange virus, une entreprise pharmaceutique toute puissante, des mutations génétiques…tout y est pour nous donner matière à savourer une bonne histoire en ayant en tête le très connu Resident Evil mais en appréciant les subtilités nouvelles que l’auteur nous offre sur un plateau sanglant.
C’est punchy, dynamique, violent, bourré d’action et de recherches scientifiques où nos héros vont non seulement tenter d’éradiquer le mal qui a contaminé la population, mais également essayer de survivre face aux survivants que d’autres folies religieuses ou de grandeurs sont venues infecter.

Avec un Mal à l’intérieur comme à l’extérieur des murs, de nombreux rebondissements viennent ponctuer le récit et nous faire avancer dans la lecture avec délice.
Surtout que certains chapitres se terminent avec de beaux cliffhangers qui ne donnent qu’une envie : commencer aussitôt le chapitre d’après.
Une excellente lecture qui fut un coup de cœur pour moi et que je vous recommande avec passion !

Si ce titre vous intéresse, voici le lien direct du site de l’auteur pour le précommander : https://bilskirnir.fr/produit/berserker/
Et n’hésitez pas à visiter le site complet de l’auteur pour y retrouver sa saga Au nom des Dieux ainsi que plein de goodies !

Ma note : 20/20

Note : 5 sur 5.

9 commentaires sur “Berserker

  1. Je viens de le terminer. Quel plaisir !
    J’avais beaucoup aimé Au nom des dieux, j’ai adoré Berserker qui a été un énorme coup de coeur pour moi. D’autant que cela se passe à Nice, dans des lieux que je fréquente bien souvent… et que je ne vois plus tout à fait du même oeil maintenant ! 😀

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